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derniers articles histoire de poursuivre le fil de cette histoire…(page 2) le début d’une histoire sans fin…(page 1) ceux déjà venus doivent se servir du module en haut permettant l’accès direct aux n° des articles) suite de cette histoire encore dans l’intro…(page 3) suite de cette histoire sans fin…(page 4) les chemins de traverses sont souvent semés d’embûches…(page 5) fin de l’intro… (page 6) paranoïa ou réalité d’un mauvais sort… (chapitre 1) comme si la mort était entrée en moi… (chapitre 2) a ne faire que penser, c’est à croire qu’on va devenir dingue ! (chapitre 3) des souvenirs qui s’accrochent et font partie de soi… (chapitre 4) articles par catégorie chapitres (10) intro (6) articles par mois décembre 2008 février 2008 janvier 2008 inscription aller à: [ recherche ] [ menus ] [ contenu ] [ montrer/cacher plus de contenu ] bienvenue sur mon blog, au bohneur d’écrire le début d’une histoire sans fin…(page 1) ceux déjà venus doivent se servir du module en haut permettant l’accès direct aux n° des articles) posté par vivrepourecrire on 12.déc.2008 pas de commentaires un matin, pourtant apparemment comme les autres, je me réveille. jusque là, rien d’anormal. mais voilà, je me lève, et comme d’habitude je me rend à la salle de bains, aux toilettes. et c’est là que tout change. arrivée devant ma glace qu’est-ce que je vois ? cette image qui jusque à ce jour me souriait, me renvoyant une mine sympathique, plutôt charmante même… voilà que je me rend compte d’un seul coup que j’ai vieillie ! alors je vois mon visage tout ridé pour la première fois et ce n’est pas un effet d’optique, ni le résultat d’un lendemain de bringue. non, la dure réalité s’inscrit là dans le reflet d’un miroir qui semble certain de ce qu’il renvoie. c’est à devenir dingue ! des rides, autour de la bouche, dans la commissure des lèvres, d’autres à droite de chaque oeil. et les pires de toutes sont ces cernes sous les yeux, creusés, bleutés, à croire que j’ai dû passer cinquante ans sans dormir . publié dans intro . histoire de poursuivre le fil de cette histoire…(page 2) posté par vivrepourecrire on 12.déc.2008 pas de commentaires un seul moyen pour remédier à ce mauvais délire, sortir de cette pièce : seul endroit de ma modeste habitation à posséder un miroir. une fois remise de toutes ces mauvaises impressions, après un bon café, tout rentrera naturellement dans l’ordre. ces sensations aussi désagréables qu’elles me sont apparues, rejoindront aussi vite, celles éprouvées à l’issue d’un sombre cauchemar. la journée, sans ce douloureux réveil, semblait bien commencer. le printemps a toujours été ma saison préférée, et justement, on y était puisque le mois d’avril commençait juste. aujourd’hui j’avais décidé d’aller chez mon bouquiniste. la veille, tous les bouquins qui ne valaient pas la peine d’être conservés s’étaient retrouvés prêt à être échanger, empilés sur la table du salon. mon lieu de vie, bien que tout petit, offrait l’avantage que tout soient à portée de mains. pour l’instant, il me suffisait de trouver un sac suffisamment grand et solide pour y plonger toutes ces antiquités. ces vieux romans provenaient déjà de l’endroit dans lequel ils allaient retourner. et ceci, grâce à une sorte de pacte passé entre le détenteur, (mon fournisseur de rêves) et moi, le receleur. bien que, selon leur qualité, je les gardais afin de les prêter et ils demeuraient ensuite comme de vrais trésors à poussières sur mes étagères. voilà, j’étais presque prête, il ne me manquait plus qu’à vérifier qu’elle tête j’avais… publié dans intro . suite de cette histoire encore dans l’intro…(page 3) posté par vivrepourecrire on 11.déc.2008 3 commentaires aussi invraisemblable que cela puisse paraître, mon portrait dans la glace ne me ressemblait toujours pas. du jour au lendemain, se regarder comme on a la cruauté de remarquer les visages vieillis par les années passées. se rendre compte alors qu’on en est au même stade, se voir avec un sentiment de mépris… ceci ne devait être qu’une énorme blague, une histoire de fous puisque on était quand même le 1er avril… mais qui, pourquoi, et surtout comment, aurait-on pu organiser et réaliser une telle mise en scène ? le motif seul se justifiait. très prisonnière de ma condition féminine, comme la majorité de ce sexe, je n’imaginais pas entrer dans la vieillesse en une nuit. alors, une personne, ou même, plusieurs, avaient dû manigancer ce stratagème afin de bien rigoler. persuadée de cette version, je ne faisais plus cas de ce que me renvoyait le miroir. je finissais de me préparer, mon sac de bouquins à la main, je fermais ma porte à double tours, et me retrouvais dans la rue, direction le bouquiniste… publié dans intro . suite de cette histoire sans fin…(page 4) posté par vivrepourecrire on 10.déc.2008 pas de commentaires aussitôt passé le seuil de mon immeuble, je me rendais vite compte que cette vision dans la glace me mettait l’esprit à l’envers. disons que celle-ci revenait sans cesse. en croisant une voisine au coin de la rue, (qui d’ordinaire ne me saluait que si ça lui chantait) mon obsédante impression s’envola. curieusement, cette petite vieille devait se trouver dans un « bon jour », et le sourire qu’elle m’adressa me rassura quant à cette idée fixe selon laquelle je me croyais méconnaissable. je poursuivais alors mon itinéraire sans essayer d’approfondir les regards des passants que j’entrecroisais, et sans tenter de distinguer mon reflet dans les vitrines. mon seul but tenait dans ce sac que je portais au bras, avec son contenu à échanger. comme les autres fois, je ramènerais chez moi un vrai moment de bonheur à savourer… il faisait très beau, je décidais donc d’y aller à pieds en empruntant selon mes vieilles habitudes des chemins de traverses. publié dans intro . les chemins de traverses sont souvent semés d’embûches…(page 5) posté par vivrepourecrire on 09.déc.2008 pas de commentaires déjà, croyant gagner du temps, j’évitais le centre ville en prenant par des ruelles aux allures de coupe gorges. ma légendaire paranoïa activait en moi des impressions bizarres. depuis le début il me semblait entendre des pas qui s’emboîtaient dans les miens. n’ayant comme trésor que mes vieux livres, je me persuadais que tout ça n’existait que dans ma tête. curieux quand même ces résonances derrière moi… pour ne plus y penser, je me retournais d’un coup et je compris alors que quelqu’un s’amusait à me suivre. le temps pour se cacher avait été si court qu’il s’était trahie malgré lui. mais pourquoi, et qui était-ce ? décidément, ce que je pressentais comme une blague depuis mon réveil se transformait en une sorte de harcèlement. même si certains ont l’humour qui tend vers le cynisme, là, pour le coup, j’endossais le rôle d’une victime. poursuivant ma marche, bien que les rues soient désertes, je ne mesurais pas l’ampleur d’un danger car la lumière du jour suffisait à me rassurer… publié dans intro . 1 2 3 4 vous devez être connecté à votre compte pour me contacter auteur: ecrire par plaisir. la bomba ! femme de rêve la der des ders articles récents histoire de poursuivre le fil de cette histoire…(page 2) le début d’une histoire sans fin…(page 1) ceux déjà venus doivent se servir du module en haut permettant l’accès direct aux n° des articles) suite de cette histoire encore dans l’intro…(page 3) suite de cette histoire sans fin…(page 4) les chemins de traverses sont souvent semés d’embûches…(page 5) fin de l’intro… (page 6) paranoïa ou réalité d’un mauvais sort… (chapitre 1) comme si la mort était entrée en moi… (chapitre 2) a ne faire que penser, c’est à croire qu’on va devenir dingue ! (chapitre 3) des souvenirs qui s’accrochent et font partie de soi… (chapitre 4) livesearch recherchez aussi : - gif blague - kali - sourire sans fin - histoires fous - gif image feminine catégories : journal intime chapitres intro du début, suite, fin décembre 2008 février 2008 janvier 2008 juillet 2019 l ma me j v s d « déc 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20